
Il n'y a pas à tortiller, cette période estivale (?) me transforme en bigorneau lové dans sa coquille, tel un serpentin d'alambic recroquevillé au creux d'un bistrot de campagne. Bref, je manque de ressort, mais pas de tire-bouchon. J'ai les idées qui partent facilement en vrille, incapable d'aligner la moindre frisette de projet. Ajoutez à cela un tourbillonnant vent de suroît installé depuis mon retour dans les abers, nous livrant huit fois par jour ses volutes de pluie et de soleil, et avouez enfin qu'on ne peut rien...
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