
Je me disais en songeant à ce billet sur les pouce-pieds (ou pousse-pieds selon les sources, mes livres de biologie retiennent majoritairement la première orthographe), que j'allais revenir à du texte léger, à ces calembours capillo-tractés qui me font honnir des honnêtes gens. Pas du tout, j'ai beau retourner l'idée dans tous les sens, rien de très probant, six pieds six pouces à la rigueur, pas de quoi remporter le prix Nobel de la Déconne... Ce n'est pas bien grave, la bestiole est déjà assez passionnante en soi pour ne pas mériter...
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