
Certains ont le vin gai après un ou deux verres seulement, mais je connais un gars qui l'a heureux même avant de commencer à boire, sans doute parce que ses dernières gorgées sont encore présentes dans les lambris soyeux de son palais. Il vit à l'opposé de la Bretagne, en Franche Comté, et c'est heureux, parce que sinon lui et moi on est sûrs de se retrouver face à face, verre en pogne, avec l'honnêteté qui commande de boire...
Nous avons longtemps communiqué par blogs interposés, je ne manque jamais l'un de ses articles...
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