
Fin février, je suis venu en Bretagne pour passer une quinzaine d'aération de la maison et des poumons réunis, puis voyant la situation sanitaire évoluer vers le "On va tous mourir", je me suis dit que foutu pour foutu, on serait bien plus avisé d'agoniser dans l'air marin que dans les miasmes parisiens. Bref, cette quinzaine s'est prolongée de plus de six mois, puisqu'à l'heure où je mets cet article sous serveur, j'y suis encore. J'ai en effet une santé pas mal branlante, genre je reste en vie par habitude, je me voyais...
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